LES BAUXQuelques fragments d’éternitéC’est pour une résidence d’artiste que je suis finalement revenu aux Baux. Trente ans après, j’y ai retrouvé le village que je parcourais dans mon enfance lors des visites en famille. Il était figé dans son éternité, sur la roche et sous le ciel. Au château, j’ai retrouvé ces mêmes murs ouverts, ces portes qui donnent sur le vide, les escaliers qui ne mènent nulle part et les fenêtres ouvertes à jamais. Les restes figés d’un passé oublié. Serait-ce pour cela que les visiteurs viennent ici si nombreux ? Aux Baux-de-Provence, nous contemplons le passage du temps qui nous transforme mais qui, ici, ne semble rien changer. Photographies réalisées lors d’une résidence d’artiste aux Baux-de-Provence à l’automne 2014.
16 photographies › | ![]() Vue depuis les Bringasses | ![]() Hotel Jean de Brion | ![]() Rue du château | ![]() Chapelle des Pénitents Blancs | ![]() Place Louis Jou | ![]() Chambre d'Alix des Baux | ![]() Carrières de Sarragan | ![]() La maison de l'Hère | ![]() Val d'enfer | ![]() Vue depuis la tour Paravelle | ![]() Chapelle Sainte Catherine | ![]() La tour Sarrazine | ![]() La tour Paravelle | ![]() Rue du Trincat | ![]() Cimetière du château | ![]() Val d'enfer |